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guy janvier - Page 14

  • SENATORIALES : LES SOCIALISTES DE VANVES SE PRONONCENT POUR BUCHET… ET DONNENT RAISON A SEGOLENE !

    Un vote internet était organisé dans les sections socialistes des Hauts de Seine hier soir pour désigner leurs candidats aux sénatoriales et surtout lerur tête de liste :

    A Vanves Pascal Buchet a recueillit 39% des voix, Pierre Gaborit  30,4% et Aïcha Moutaoukil 30,4%. Ce qui prouve que cette section était très partagée.

    Au niveau départemental, Pascal Buchet a fait 48,59%, Pierre Gaboritr 28,89% et Aïcha Moutaioukil 22,47%. Ainsi il devrait y avoir un second tour ce soir entre 17H et 22H

     

    Guy Janvier qui était candidat a finalement retiré sa candidature pour respecter l’une des régles que les militants du PS ont ratifié lors d’un vote similaire : le non cumul d’un mandat parlementaire avec un mandat exécutif (maire, président d’un Conseil Général). A noter tout de même qu’il remplissait ses conditions, alors que Pascal Buchet est maire de Fontenay aux Roses. Il est vrai qu’il avait annoncé au cas il serait élu en Septembre 2011, il quitterait sa fonction de maire. Mais comme rien n’est simple, le sortant qui ne se représente pas, Robert Badinter, soutenait Pierre Gaborit, qui a été élu de Boulogne et qui est connu en  dehors des cercles socialistes car il est avocat et a défendu certains recours déposés par les associations de défense de l’environnement, notamment contre la Fondation Hamon – qui fait beaucoup parler d’elle – sur l’Ile Saint Germain à Issy les Moulineaux  

    Par un second vote, les socialistes vanvéens se sont prononcés plus de 70% pour le texte sur « l’égalité réelle » c'est-à-dire le fameux texte de Benoït Hamon qui a fait beaucoup parlé de lui et divisé les socialistes.

     

    Et Ségoléne Royal dans tout cela ? Et bien, les socialistes vanvéens ne sont pas du tout perturbés comme le laissent à pensrr les médias : « C’est légitime. Une femme qui a presque gagnée ne va pas lâcher. Et tant qu’elle sollicite les suffrages des militants. Nous ne sommes pas étonnés. C’est presque obligée qu’ele y aille pour ce qu’elle a fait. Et elle n’a pas bénéficiée de tous les appuis la première fois. C’est peut être une façon de dire que les français s’étaient trompés la première fois. En tous c’est un signe démocratique dans un parti ». Voilà en tous les cas, comment les quelques militants présents hier soir à la permanence PS du 81 Sadi Carnot réagissaient. « Il y avait certes un pacte de non agression. Mais DKS est exilé à New York. Et le silence de Martine nous chagrine ! ».

  • DES NOUVELLES DES ELUS DE VANVES EN TERRE SARKOZYSTE

    ISABELLE DEBRE A L’ELYSEE

    « Ce n’est pas la première fois qu’il nous réunit. Nicolas Sarkozy a la nostalgiue des réunions de groupe. Il a vraiment besoin de rencontrer les sénateurs de la majorité, et cela lui manque de ne pas nous voir plus souvent. Il a toujours été très proche des élus et des militants. Il aime être à leur rencontre, pour échanger et écouter, et c’est un vrai besoin, et un plaisir de dialoguer et de nous écouter » raconte Isabelle Debré après la rencontre des sénateurs de l’UMP et le Président de la République à l’Elysée, hier à l’heure du déjeuner, une semaine après les députés, et pendant plus de 2H de questyions-réponses. Il  les assuré vouloir continuer à réformer et à faire de ce quinquennat un mandat de réforme, reprenant finalemet les thémes développés devant le Congrés des Mairees la veille : « Une nation compte quand elle s’adapte, se modernise, change ses habitudes et a l’audace de l’innovation ». Et de rappeler que « toute majorité confondues, quand les choix étaient trop difficiles, quand les réformes étaient trop confilictuelles, quand la rue s’exprimait pour des raisons souvent bonnes, et comprégensibles, on décidait soit de reculer, soit de renvoyer à plus tard après chaque élection. Et comme il y a toujours des élections, on différe. Et le rendez-vous est plus douloureux parce qu’à force de refuser de sauter l’obstacle, il devient de plus important.  Il n'existe pas de grande réforme sans grand débat, sans grande opposition et une fois que la réforme est faite, les choses se calment comme par miracle ». Et de citer de nombreux exemples parmi les derniers : carte militaire, carte judiciaire, hopitaux, retraitres pour terminer par son nouveau projet : la grande dépendance. « 1,1 million de personnes dépendantes,. 250 000 de nos compatriotes atteints par la maladie d’Alzheimer. Dont certains dés 50 ans ». Avec de nombreux difficultés de financements. C’est pourquoi il a confirmé qu’il lancerait un vaste débat sur le sujet. Et le sénat avec sa commission sociale dans laquelle Isabelle Debré siége sera concerné, comme elle l’a déjà été sur de nombreux projets depuis qu’elle siége dans cette haute assemblée.  

     

     

    GUY JANVIER : « ITINERAIRE D’UN SOCIALISTE EN SARKOZIE » ET A VANVES

    « L’idée de ce livre est assez récente. Pendant longtemps j’ai pensé qu’agir suffisait. Je croyais dans l’efficacité de l’action politique quotidienne. « Penser globalement, agir localement. Cette phrase d’Edgar Morin, j’en avais fait en quelque sorte ma devise » écrit Guy Janvier sur son blog en annonçant ce livre dont il publie les chapitres consacrés au « virus de la politique », « son mandat de maire », à des thémes qui lui sont chers comme le logement et l’école, la solidarité et à son goût du service public, à ce département « le plus riche et le plus inégalitaire de France ». Il parle de cette politique dont il a consacré 25 ans de sa vie « dans ce département atypique que sont les Hauts-de-Seine tenus par Charles Pasqua, Nicolas Sarkozy, André Santini, Patrick Devedjian… A soixante ans passés, mon engagement est toujours le même que celui de mes trente ans. Mes convictions non seulement n’ont pas changé mais elles se sont fortement étayées. Ces certitudes, je veux les partager ». Et pourtant, on apprend au fil des pages qu’il tient ce virus de la politique de son pére, pour « défendre des petites gens comme lui que je me suis engagé et que je continuerai à me battre ». Qu’il se destinait à des études d’italien et au professorat. Qu’il a été secrétaire dela section CFDT à la Région Ile de France qui naissait. Qu’il a été un « fonctionnaire engagé » et n’a jamais cru à l’apolitisme supposé de la hauite fonction publique. Qu’il a été stagiaire de l’ENA à Chartres en même temps de Patrick Strzoda, lui à la mairie, et le préfet des Hauts de seine à la Préfecture…

    Le portrait qu’il dépeint du secrétaire de section du PS à l’époque de son engagement à Vanves en 1984 vaut « son pesant de cacahouette » lorsqu’on sait qu’il parle de Raymond Deniau lors des campagnes  - « J’ai rarement vu un militant aussi organisé que lui. Tout était prpogrammé : un pied à culisse pour mesurer le nombre de tracts à disribuer par militant, une multitude de balais, avec des manches de tailles différentes pour l’affichage sauvage – toléré à l’époque – des caddies, des clés, des codes, des adresees pour faire du porte à porte…Tout y était. On sillonnait les rues de la ville, de préférence de nuit… » - ou des réunions : « Le rite était immuable : présentation d’un sujet d’actualité ou de fond par le secrétaire, debout devant ses ouailles – on se serait cru au catéchisme -  puis liste des travaux militants à effectuer ». Comme son secrétaire de section, il avait constaté lorsqu’il s’est décidé à se présenter une première fois aux cantonales en 1994, que le sortant, Roger Aveneau, c’était plutôt « hibertanus » : « Un UDF venu du syndicalisme chrétien…. » avec lequel il a siégé au conseil d’administration du collége St Ex : « Il n’ouvrait jamais la bouche, avait l’air de s’ennuyer ».

    REGLEMENTS DE COMPTE

    Il revient bien évidemment sur son mandat de maire avec la mise en place de la démocratie participative sur laquelle Benedicte Goussault s’est beaucoup engagé en mettant en place les conseils de quartiers, mais aussi les deux catastrophes auquel il a dû faire face : la tempête de décembre 1999 et l’incendie du marché. « C’est le lot des maires que d’affronter ce type de difficultés et mon équipe fut soudée autour de moi pour sortir de ces galéres » explique t-il avec un regret pour le marché : « Nous avions décidé de l’ouvrir sur l’extérieur, en créant une placette pour les ambulants. La municipalité qui nous a succédé a choisi un autre projet. Je ne suis pas sûr qu’elle ait eu raison de le faire…Elle a aussi gaspillé les milliers d’euros que nous avions mis dans l’étude élaborée avec les commerçants, et l’un d’entre eux, en particulier, Gérard Gadras, boucher pendant 40 ans sur le marché de Vanves ». Et un autre pour le parc F.Pic dont le projet de réaménagement concerté « a été mis dans un tiroir par la municipalité ».

    Enfin, il régle ses comptes avec ses solides inimitiés : Charles Pasqua qui représente pour lui « l’archétype du magouilleur, la droite dans sa pire expresion ». André Santini : « ce type infréquentable » à propos duquel il n’a jamais compris comment « cet homme pouvait passer pour un type sympa »… « méprisant, vulgaire, mysogyne ». Et la droite ! Il a la conviction « d’avoir été piégé par la droite qui, pour récupérer la ville, n’a pas hésité à jouer sur les questions de sécurité ! ». Et il rappelle malgré tout un agréable souvenir qui est tout à fait d’actualité alors que le Congrés des Maires de France se déroule aux portes de Vanves actuellement  : « L’accueil dans un gymnase que je mettais à la disposition de la FNESR, moyennant rémuinération, de tout ce que le PS comptait de personnalités importante…pour un déjeuner à la fois de travail et convivial. Puissance invitante, j’avais le privilége de siéger à la table d’honneur et de prononcer le discours d’ouverture. J’acceuillais ainsi pour quelques heures Pierre Mauroy, Lionel Kospin, Laurent Fabius, François Hollande…Tous étaient ouverts. Cela me changeait de Santini et de Pasqua…Devant cet aéropage de grands élus, je plaidais pour un statut de l’élu local digne de ce nom ».

  • ELECTIONS CANTONALES A VANVES: LORSQUE JANVIER FAIT MENTIR GAUDUCHEAU

    Contrairement à Bernard Gauducheau, Guy Janvier n’a pas eu besoin de faire appel à des personnalités extérieures UMP et NC pour lancer sa campagne sur le théme : « Un conseiller Général d’opposition ne sert à rien ! ». Le Conseiller Général sortant a relevé que cette formule venait d’un élu extérieur à Vanves, préférant parler de son bilan de mandat et expliquer ce qu’il a fait depuis 2004, pour faire mentir son challenger. D’ailleurs il a comparé ce qu’il a eu du Conseil Général lorsqu’il était maire, et ce que Vanves a bénéficié depuis qu’il st conseiller général. Il n’y a pas photo. Cette première réunion publique  a attiré 150 vanvéens, des militants, des sympathisants, des curieux,  bravant la petite pluie fine qui s’abattait sur Vanves Jeudi soir, pour rejoindre le préau de l’école Larmeroux. C’est d’ailleurs ce qu’il a répondu à une question de Lucile Schmid qui lui demandait comment il pensait mieux organiser les liens entre conseillers généraux et ville d’oppsition départemenbtale : « On l’envisagera lorsqu’on parlera programme, ce qui n’est pas le théme de cete réunion ».

     

    Il avait construit, avec son équipe et Valérie Matthey sa supléante, sa réunion autour de 4 thémes avec power point que les vanvéens peuvent retrouver sur son blog, qu’il a développé et expliqué : Finances, solidarités, éducation, aides financières en dressant la liste de ce qui a été proposés, retenus et non retenus. En insistant à chaque fois sur un point particulier qui lui tenait à cœur. L’évaluation financière  sachant que le Conseil Général finance 460 dispositifs et que 4 seulement en ont fait l’objet. « On n’a pas suffisamment obtenu de résultats dans ce domaine là » a-t-il expliqué en dressant la liste des des priorités à revoir : THD, Pôle universitaire Léonard de Vinci, Ile Saint Germain, soirée Pavarotti (4ME)….C’est pourquoi, il a proposé de mettre en place ne comission d’évaluation des transferts de compétences et des compensations, un groupe de traail sur les critères d’attribution des aides. En matière de solidarité qui est « au cœur de métier du département », il a bien sûr parlé du logement qui est « au cœur de la cohésion sociale ». Pour l’éducation, il a parlé de cette idée de mettre à disposition à chaque collégien un ordinateur  portable individuel, et s’est félicité que ce soit « Nicolas Sarkozy qui ait « permis aux Conseillers généraux d’opposition de siéger aux conseils d’administrations des colléges situés dans leur canton ». Enfin sur les aides diverses et variées, il a présenté plusieurs tableaaux, avec la liste des associations vanvéennes aidées, des équipements qui ont été subventionnées, avec bien sûr ce qui a été fait pour les colléges Michelet et Saint Exupery. « 400 situations ont été traitées lors de mes permanence » en reconnaissant que « certaines ayant aboutis, d’autres non ! » a-t-il indiqué en ajoutant que « ce furent 6 années pleines, enrichisantes, de rencontres multiples, même si l’on voit moins ce que fait un conseiller général par rapport à un maire ».

     

    Entre chaque théme, il a répondu aux questions des participants : Sur la fiscalité ! Il a reproché au département d’avoir une fiscalité stable qui empêche d’engager des dépenses plus importantes, et lui permet de se constituer une « cagnotte » pour reprendre un terme à la mode. Sur la réforme de la taxe professionnelle : « On ne peut pas répondre car on ne connait pas les répercussions sur les collectvités locales avec une péréquation différente ». Sur le logement social : « Il en manque partout ! » - « Pourtant on construit à Vanves » s’étonne un participant. « Mais pas de logement social alors qu’il faut de la mixité » a-t-il précisé en relevant que le président du Conseil général « estime que cela suffit en matière de logement social ». Un autre a demandé quelles pénalités existaient pour les cmmunes ne respectant pas les 20% : « La loi SRU en a prévu, mais des villes préférent les payer que faire du logement social, certains maires expliquant que la loi SRU est contre-productive ».    Un troisiéme a relevé que Patrick Devedjian est contre l’action d’associations comme Solidarités Logement qui met à disposition des logements passerelles. Un quatrième a demandé ce qu’était cette Maison Départementale de l’Adoption : « Elle a été proposé par Pasca Buchet, maire PS de Fontenay aux Roses et repris pa le Conseil Général ».

    En matière d’éducation, le débat s’est développée sur ce qui est prévu dans les colléges pour accueillir la génération 2000 – « une étude est en cours , sachant qu’à Vanves, Saint Exuperuy qui est un excellent collége, a de la place, alors que d’autres sont aturés. Mais il faut que les parents soient derrière » - sur les ordinateurs alors que certains sont réticents àdonner un portable indviduel à chaque collégien, préférant la solution de salle ultimédia dans les établissemets scolaires : « Une des raisons pour laqelle j’ai fait cette proposition c’est que que cela a marché dans des dépatements comme la Corréze, les Bouches du Rhône, les Landes. Cela me fait penser à Gutenberg lorsque les gens s’inquiétaient de savoir que les gens allaient acéder à la lecture » a-t-il espliqué en reconnaisant que « ce ne sont pas des raisons financières qui ont été donné pour refuser cette idée ». Et puis les discussons se prolongées autour d’un verre de Beaujolais.